En redéfinissant discrètement les mots femme, homme et homosexuel, Ottawa s’aligne sur l’idéologie LGBTQ. Un geste lourd de conséquences qui nie la réalité biologique et enfonce le Canada dans une dérive rejetée par la majorité.

Le 24 juillet dernier, le ministère de la Justice du Canada a discrètement mis à jour une série de documents sur l’état du système judiciaire canadien. 

Derrière ce qui aurait pu sembler une simple révision administrative, on découvre en réalité un geste politique lourd de conséquences: la redéfinition officielle des mots femme, homme et homosexuel pour les aligner sur les dogmes imposés par les activistes LGBTQ. 

Par exemple, une femme sera maintenant définie comme «l’ensemble des personnes qui s’identifient comme des femmes, qu’elles soient cisgenres ou transgenres».

Le Réseau féministe québécois dénonce la censure idéologique qui a poussé Jocelyne Robert, pionnière en éducation sexuelle, à quitter son ordre professionnel pour avoir osé critiquer l’approche dite «transaffirmative». 

Jocelyne Robert est une sexologue renommée au Québec. Au Réseau féministe québécois, nombreuses sont celles d’entre nous qui ont grandi avec ses livres d’éducation sexuelle. 

Jocelyne Robert a été une pionnière: la première sexologue à parler de consentement, de plaisir et de respect aux ados du Québec. Elle n’est plus sexologue. Elle a démissionné de son ordre professionnel car, pour elle, la rigueur scientifique est plus importante que tout. 

Mme Robert est l’adulte dans la pièce et a tout notre respect pour cet acte courageux.

La terreur transactiviste réduit les femmes au silence - Libre Média

La terreur transactiviste réduit les femmes au silence

Menacées, censurées, agressées: celles qui défendent les droits des (vraies) femmes face au transactivisme paient souvent le prix fort. 

 

Dans un récent article publié à La Presse, la journaliste Louise Leduc se fait l’écho de certaines critiques adressées au rapport des comités des sages sur l’identité de genre: la plupart des gens venus témoigner devant le comité l’ont fait de façon anonyme, ce qui, selon ses détracteurs, rendrait l’exercice non crédible. 

 

Pourquoi ne pas chercher à comprendre la raison qui a poussé tant de gens à rester dans l’ombre?

Le 19 juin dernier, notre présidente Alexandra Houle était au micro de Karima Brikh à Qub radio pour réagir à l'importante décision du ministre de la sécurité publique: mettre fin à l'autodétermination de genre dans les prisons québécoises et regrouper les détenus selon leur sexe anatomique.

« Le sexe effacé » : des féministes dénoncent le rapport complaisant du comité de sages

« Le Sexe Effacé » : Des Féministes Dénoncent Le Rapport Complaisant Du Comité De Sages – PiluleRouge.ca

 

Droits des femmes sacrifiés au nom du wokisme

Droits Des Femmes Sacrifiés Au Nom Du Wokisme – PiluleRouge.ca

Analyse du rapport du comité de sage au micro de Sophie Durocher avec Alexandra Houle, présidente du Réseau féministe québécois et l'historienne Russel-Aurore Bouchard.

Les homme dans les prisons pour femme: une menace au droit fondamentaux des détenues. 

Discussion avec Alexandra Houle, présidente du Réseau féministe québécois au micro de Sophie Durocher.

La décision de la Cour suprême écossaise marque une étape cruciale dans la protection des droits des femmes en affirmant que le terme "femme" doit rester défini par le sexe biologique dans la loi. Cela permet de préserver l’accès réservé aux femmes dans des domaines essentiels tels que les espaces non mixtes, les statistiques et les services spécifiques.

Il est essentiel de continuer à défendre ces droits fondamentaux pour garantir la sécurité et la reconnaissance de chaque individu, tout en respectant la spécificité des espaces dédiés. N'hésitez pas à suivre l’émission sur QUB radio avec Sophie Durocher pour en savoir plus.

 

Notre Présidente, Alexandra Houle du Réseau Féministe Québécois, était de passage sur le podcast Ian & Frank. Lors de cette entrevue, on discute de différents sujets qui sont abordés ou non dans la campagne électorale fédérale tel que l'avortement, l'identité de genre, la présence des hommes dans les espaces réservés aux femmes (comme les prisons et le sport), ainsi que les défis de la division politique entre les hommes et les femmes.

Discussion au micro de Richard Martineau avec Alexandra Houle, présidente du Réseau Féministe Québécois.

Amy Hamm est une infirmière canadienne. Enfin. Nous devrions plutôt dire était.

Elle a été congédiée après 13 ans de service par son employeur, le Vancouver Coastal Health, après avoir été accusée de mauvaise conduite professionnelle par son ordre professionnel

Sa faute: avoir dit publiquement (et non dans le cadre de son travail) que le sexe était biologique et qu’on ne pouvait en changer. En treize ans de service, aucun patient n’a porté plainte sur la qualité des soins donnés par M^me Hamm. Ce sont les plaintes de militants qui ont mené à cette saga juridique.

Elle a osé parler de la réalité.

Discussion au micro de Sophie Durocher avec Alexandra Houle, présidente du Réseau Féministe Québécois

Discussion au micro de Sophie Durocher avec Alexandra Houle, présidente du Réseau féministe Québécois et Rafaël Provost, directeur général de ENSEMBLE pour le respect de la diversité.

Voici la revue de l’année 2024 à QUB radio sur l'état du droit des femmes dans le monde avec notre présidente, Alexandra Houle. Durant cette entrevue Alexandra Houle et Benoit Dutrizac répondent à la question suivante: Où vaut-il mieux de pas naître femme?

L'entrevue se déroule de la minute 1:21:12 à 1:36:36. 

Bonne écoute!

Le 1er novembre, des centaines d'organisations de femmes dans le monde se rassembleront devant les ambassades et consulats allemands pour protester contre l’entrée en vigueur d’une loi extrêmement régressive en matière de droits parentaux.