Injustisce flagrante.
L’infirmière Amy Hamm est condamnée à payer plus de 90 000 $ et suspendue de sa profession, simplement pour avoir affirmé une réalité biologique : il existe deux sexes.
Au Réseau féministe québécois, nous avons déjà dénoncé ce cas dans Le Journal de Montréal et au micro de Richard Martineau à Qub radio en avril dernier.
Qu’une professionnelle de la santé soit traitée comme une délinquante pour avoir rappelé un fait scientifique démontre à quel point la liberté d’expression est menacée au Canada.
Il est aberrant qu’une infirmière doive payer des dizaines de milliers de dollars pour avoir dit que les femmes sont des femmes et que les hommes sont des hommes.
Cette sanction est un dangereux précédent : si même les soignants n’ont plus le droit de nommer la réalité, comment pouvons-nous avons confiance envers les professionnels de la santé?
Rappel du cas (selon notre texte du Journal de Montréal, 1ᵉʳ avril 2025)
https://reseau-feministe-quebecois-org.s1.yapla.com/fr/publication/droits-des-femmes-le-congediement-de-la-realite
Il est extrêmement inquiétant qu’un établissement de soins de santé considère qu’« énoncer cette réalité soit un acte répréhensible méritant un congédiement ». Cela devrait alarmer non seulement les travailleurs du domaine médical, mais aussi les patients, qui doivent pouvoir compter sur un système de santé fondé sur la science et la réalité biologique, et non sur une idéologie partisane.
Il faut rappeler aussi qu’Amy Hamm milite pour l’organisme féministe CAWSBAR, qui poursuit actuellement le gouvernement canadien afin que les hommes n’aient plus accès aux prisons pour femmes. Son engagement dépasse donc son propre cas : elle défend les droits de toutes les femmes.
Nous soutenons Amy Hamm dans cette épreuve et appelons à la défense des droits fondamentaux des femmes basée sur le sexe et non le genre.
Qu’une professionnelle de la santé soit traitée comme une délinquante pour avoir rappelé un fait scientifique démontre à quel point la liberté d’expression est menacée au Canada.
Il est aberrant qu’une infirmière doive payer des dizaines de milliers de dollars pour avoir dit que les femmes sont des femmes et que les hommes sont des hommes.
Cette sanction est un dangereux précédent : si même les soignants n’ont plus le droit de nommer la réalité, comment pouvons-nous avons confiance envers les professionnels de la santé?
Rappel du cas (selon notre texte du Journal de Montréal, 1ᵉʳ avril 2025)
https://reseau-feministe-quebecois-org.s1.yapla.com/fr/publication/droits-des-femmes-le-congediement-de-la-realite
Il est extrêmement inquiétant qu’un établissement de soins de santé considère qu’« énoncer cette réalité soit un acte répréhensible méritant un congédiement ». Cela devrait alarmer non seulement les travailleurs du domaine médical, mais aussi les patients, qui doivent pouvoir compter sur un système de santé fondé sur la science et la réalité biologique, et non sur une idéologie partisane.
Il faut rappeler aussi qu’Amy Hamm milite pour l’organisme féministe CAWSBAR, qui poursuit actuellement le gouvernement canadien afin que les hommes n’aient plus accès aux prisons pour femmes. Son engagement dépasse donc son propre cas : elle défend les droits de toutes les femmes.
Nous soutenons Amy Hamm dans cette épreuve et appelons à la défense des droits fondamentaux des femmes basée sur le sexe et non le genre.
