Victoire majeure pour les droits des femmes au Québec!
Le ministre de la Sécurité publique, François Bonnardel, vient de mettre fin à l’autodétermination du « genre » en milieu carcéral : les hommes ne pourront plus être transférés dans les prisons pour femmes simplement en s’identifiant comme telles.
Le ministre de la Sécurité publique, François Bonnardel, vient de mettre fin à l’autodétermination du « genre » en milieu carcéral : les hommes ne pourront plus être transférés dans les prisons pour femmes simplement en s’identifiant comme telles.
C’est une décision de bon sens. Il n’a jamais été acceptable de laisser des détenus — parfois condamnés pour violences sexuelles ou pour meurtre — choisir la prison de leur choix sous prétexte d’un changement de genre autodéclaré. Cette politique mettait directement en danger les femmes incarcérées, dont plusieurs sont elles-mêmes survivantes de violences.
Au Réseau féministe québécois, nous suivons ce dossier de près depuis des mois. Nous sommes fières d’avoir contribué à faire pression pour qu’une telle mesure soit enfin prise. Le sexe est une réalité, pas un sentiment.
Mais le combat n’est pas terminé : cette décision s’applique uniquement aux prisons provinciales du Québec. Dans les établissements fédéraux, contrôlés par Ottawa, les transferts d’hommes dans les prisons pour femmes sont toujours permis.
Il est temps que le gouvernement fédéral mette lui aussi fin à cette aberration.
Merci à toutes celles et ceux qui ont porté cette cause avec nous. Continuons à exiger des conditions de détention sécuritaires pour les femmes.
Notre pétition reste active : https://www.change.org/p/non-aux-transferts-d-hommes-dans-les-prisons-pour-femmes-au-canada
C’est une décision de bon sens. Il n’a jamais été acceptable de laisser des détenus — parfois condamnés pour violences sexuelles ou pour meurtre — choisir la prison de leur choix sous prétexte d’un changement de genre autodéclaré. Cette politique mettait directement en danger les femmes incarcérées, dont plusieurs sont elles-mêmes survivantes de violences.
Au Réseau féministe québécois, nous suivons ce dossier de près depuis des mois. Nous sommes fières d’avoir contribué à faire pression pour qu’une telle mesure soit enfin prise. Le sexe est une réalité, pas un sentiment.
Mais le combat n’est pas terminé : cette décision s’applique uniquement aux prisons provinciales du Québec. Dans les établissements fédéraux, contrôlés par Ottawa, les transferts d’hommes dans les prisons pour femmes sont toujours permis.
Il est temps que le gouvernement fédéral mette lui aussi fin à cette aberration.
Merci à toutes celles et ceux qui ont porté cette cause avec nous. Continuons à exiger des conditions de détention sécuritaires pour les femmes.
Notre pétition reste active : https://www.change.org/p/non-aux-transferts-d-hommes-dans-les-prisons-pour-femmes-au-canada
