Un phénomène inquiétant et méconnu
La pornographie deepfake — ces vidéos générées par intelligence artificielle où le visage d’une personne est apposé sur un corps dans une scène sexuelle — se répand à grande vitesse. Les adolescentes, les jeunes femmes et même les mineurs sont de plus en plus ciblés. C’est une forme de violence sexuelle numérique qui peut laisser des séquelles psychologiques profondes.
Et pourtant, ce phénomène demeure largement ignoré par les institutions et le grand public.
Notre projet : informer, prévenir, protéger
Grâce à cette campagne, le RFQ souhaite créer et animer une série d’ateliers éducatifs destinés aux jeunes de 12 à 29 ans, dans les écoles, cégeps et milieux communautaires du Québec. Ces ateliers aborderont :
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les enjeux juridiques et éthiques du deepfake sexuel,
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les impacts psychologiques chez les victimes et chez les producteurs de pornographie hypertruquée,
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les moyens de se protéger et de réagir.
Un coup de pouce double grâce au Fonds Mille et Un
Notre objectif est de réunir 10 000 $. Et la bonne nouvelle?
Grâce à notre admissibilité au Fonds Mille et Un, si nous atteignons cet objectif, le montant sera doublé. Chaque don compte donc deux fois plus!
Contribuez à la campagne ici :
https://laruchequebec.com/fr/projets/pornodeepfake-les-ados-et-lia
Pour en savoir plus : un webinaire à revoir
Le 7 mai dernier, nous avons tenu un webinaire avec Johanne Jutras, chercheure et autrice de l'essai Pornographies..., qui présente les résultats d’une recherche approfondie sur le phénomène de la pornographie deepfake. Une ressource essentielle pour comprendre pourquoi ce combat est si important.
Visionnez le webinaire ici :
https://www.youtube.com/watch?v=WA3IyFCjOSE&t=897s
Aidez-nous à briser le silence
Ce projet est l’un des premiers au Québec à s’attaquer frontalement à cette nouvelle forme de violence sexuelle. Ensemble, nous pouvons briser l’isolement, informer les jeunes et bâtir un environnement numérique plus sécuritaire.
Faites un don, partagez la campagne, parlez-en autour de vous.
Parce qu’aucune adolescente ne devrait découvrir sa propre image dans une vidéo pornographique fabriquée par une machine.
